Ce 3 février, la sortie notable au cinéma en France, c'est Sherlock Holmes de Guy Ritchie. Après sa série de films mettant en scène des malfrats anglais tournant continuellement en rond, pouvait-on vraiment encore espérer quelque chose du réalisateur ?
A priori oui, sachant que le cahier des charges entourant le personnage créée par Sir Arthur Conan Doyle est sujet à de nombreuses exigences. Malgré le choix surprenant de Robert Downey Jr, le résultat est largement réjouissant, avec un personnage fort de multiples talents dont on ne soupçonnait sans doute pas l'étendue (aptitudes au combat en plus de ses talents de détective) ainsi que d'une part sombre complètement affriolante : plus malin que les communs l'entourant, le personnage préfère s'isoler et ne manque pas d'étonner par son incapacité à se socialiser auprès d'une société prête à le courtiser.
Enfin bref, trêves d'introduction, pour la critique, c'est par là ! (chez Ecran Large, bisous à Laurent Pécha qui l'a autorisée)
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