Quand y'en a plus, y'en a encore : A peine échappé du bourbier Death Race (remake de La Course à la Mort de l'An 2000), Jason Statham reprend les armes et se croit dans un jeu vidéo.

Tourné pour 12 millions de dollars, porté à bout de bras par Lions Gate Films qui propose toujours des films de ce type, Crank est un classique instantané du film burné, tourné sous coke et entrant dans la liste des plaisirs plus que coupables pour ceux admettant l'avoir vu. Dans certaines de ses scènes complètement folles et outrageuses, le film se payait même le luxe de se rapprocher d'une adaptation live du jeu GTA.
Le principe de suite est ici purement mercantile (surtout vu la façon dont se termine le premier), mais les deux réalisateurs sont ici de retour à la barre, avec une idée encore plus conne : Après qu'on lui ait volé son coeur, Chev doit rester constamment "chargé" à l'électricité pour lui permettre de mettre la main sur les bâtards jouant avec ses affaires... Un vrai gros prétexte à un nouveau n'importe quoi.
La bande-annonce ci-dessous est déjà un monument de mauvais goût assumé, mais c'est à voir pour pouvoir en parler. Ces premières images rassurent, Crank 2 promet d'être encore plus débile, jouissif, vulgaire et stupide. ENCORE.
Entre deux sorties au ciné Art & Essai du coin, Crank 2 me semble être un moyen efficace d'évacuer le stress au quotidien. A voir le 19 août en France.
Pour la même chose en meilleure qualité, c'est ici.
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